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A

 

Quelques commentaires
Agaricus nivescens
Récolte le long de la route vers Passy ; souvent confondu avec A. arvensis qui est plus jaunissant.
Agaricus xanthoderma

Un Agaric très commun qui jaunit et à odeur de phénol, très marquée à la cuisson. Il devient grisâtre pendant la sécheresse, on peut alors le confondre avec la var. griseus.
Signalons A. xanthodermulus Callac & Guinberteau , une espèce très ressemblante mais beaucoup plus petite (<10 cm de haut), définie de l'île d'Oléron et qui vient dans l'herbe sous Cupressus. Lien

Alnicola scolecina
Gros plan
Amanita asteropus
Proche de Amanita citrina par sa couleur, elle en possède aussi l'odeur de pomme de terre. Mais l'espèce est plus massive et présente à la base du stipe un gros bulbe éclaté en étoile ; le chapeau est souvent taché de roussâtre.
Amanita asteropus
Autre récolte
Amanita dryophila

Exemplaires très frais montrant l'intérieur de la volve teinté d'ocracé.

Spores

Amanita echinocephala
Récolte dans une pelouse herbeuse du centre des impôts de Sallanches par Claude Lequien
Amanita fulva
Une petite amanite assez commune sur silice qui présente une volve engainante roussâtre spectaculaire.
Amanita muscaria var.formosa f.europaea
Récolte sous épicéas le 14/10/02 vers Morzine MEN 3529B. Description récente in bull. SMF 117(4) 2001 p302-305 à partir d'une récolte du Jura (Leg. Giacomoni). Cette Amanite se caractérise par son chapeau à ton orangé parsemé de flocons jaunâtres. Spores (9)11-13 x 7-10 µm (Q= 1,4)
Amanita lividopallescens
Lisière d'un bois de chênes pubescents, avec deux colorations différentes brune et beige
Amanita mairei
Sous pins. On peut noter la volve très ample en sac
Amanita pachyvolvata

La plus grosse des Amanitopsis dont le chapeau peut dépasser 10 cm de diamètre et possèdant une volve membraneuse très épaisse (4-6 mm). Spores sphériques 10-13 µm. Sous conifères.
A. magnivolvata possède des spores elliptiques.
autre

Amanita proxima
Espèce toxique, très proche de Amanita ovoidea mais qu'on distingue par sa volve brunâtre et non blanche.
Amanita umbrinolutea

Sous conifères en montagne. Chapeau de stature comme A.vaginata. Chapeau brun châtain à brun gris,typiquement avec un cerne plus foncé . Volve mince taché de fauve. Réaction K-K positive. Longtemps synonymisée avec A. battarrea qui est une amanite plus puissante qui vient sous feuillus planitiares (fagaceae surtout) avec K-K positive.

Amanita spissa f. bohemica
C'est une forme grêle de Amanita spissa (chapeau 5 cm max et de couleur peu foncé gris brun) et qui peut surprendre lors de sa récolte. Odeur raphanoïde.
Amanita verna var. decipiens
MORTELLE. Amanite entièrement blanche venant au printemps sur sols non calcaires. Cette variété decipiens réagit en jaune avec KOH.
Arrhenia spathulata
 
Amanita submembrancea
Amanitopsis assez robuste d'affinité montagnarde, à voile grisâtre et volve gris souris.
Armillaria cepistipes

Chapeau convexe à disque squamuleux de brun sombre, revêtement glabre ailleurs.
Stipe cylindracé, subbulbeux jaune pâle, un peu floconneux, jaunissant plus fortement à la base, anneau fibrilleux, fugace. Parasite les feuillus.

Armillaria ostoyae
Chapeau brun foncé à squames brunes. Stipe avec un anneau membraneux blanchâtre, pelucheux de brun dessous. Parasite le plus souvent les conifères.
autre
Armillaria tabescens
Une armilliaire sans anneau qui pousse à la base des chênes
B
 
Baeospora myosura
Tardif, sur cône d'épicéas, les spores sont amyloïdes
Boletus (Suillus) collinitus
Souvent confondu avec B. granulatus et B. mediterraneensis, la base rose du pied lève l'ambiguité.
Boletus luridus
Le bolet blafard surprend souvent par les couleurs très variables du chapeau.
Boletus luridus (jeunes)
Aspect jeune.
Boletus pseudoregius
Chapeau feutré vieux rose à fauve brunâtre. Pores fins jaunes, bleuisssant. Stipe subclavé rougeâtre en bas et à réseau limité à la partie supérieure. Chair jaune à rougeâtre en bas, bleuissant dans le chapeau.

Exemplaires plus agés
Boletus pulverulentus
Bolet facile à reconnaître par sa propriété de bleuir instantanément à la pression dans toutes ses parties. Chapeau jaune devanant brun rougeâtre. Pores jaune. Stipe jaune en haut et rouge betterave vers la base, . Chair jaune instantanémnt bleu à la coupe. Souvent sous épicéas mais aussi sous feuillus.
Boletus queletii var. rubicundus
Un queletii qui surprend par ses couleurs rutilantes. Il est plutôt thermophile et est très commun dans le midi..
Boletus rhodoxanthus

Chapeau blanchâtre, vieux rose depuis la marge. Pores rouge pourpre bleuissant à la pression. Stipe jaune d'or à la moitié supérieure, orangé à pourpre vers le bas, bleuissant à la pression, orné d'un réseau rouge-pourpre bien marqué. Chair typiquement jaune vif dans le stipe, jaunâtre dans le chapeau devenant bleu ciel à la coupe.

Boletus rubrosanguineus

Chapeau café au lait devenant entièrement rouge sang , non bleuissant au toucher. Pores jaunes rapidement rougeâtres. Stipe rougeâtre à réseau dense rouge sang brunissant à noirâtre avec l'âge. Chair douce, jaune pâle,rouge betterave en bas, bleu azur à la coupe. Sous conifères (surtout épicéas) en zone montagnarde.
Spores et Diagnose-DM62

Rubroboletus rubrosanguineus

Les analyses moléculaires on fait éclaté le genre Boletus.Voir Kuan Zhao & Zhu L. Yang, Phytotaxa 188 (2): 70 (2014). Doc

Boletus torosus

Récolte de Marcel Gannaz, sous hêtres au dessus de Sallanches.
C'est le fameux bolet lourd comme une pierre (obsv. perso.).

C
 
Callitosporium elaeodes

Petite espèce à chapeau feutré olivâtre qui pousse sur les troncs pourris de feuillus (chênes).
Dans la sciure des scieries on rencontre souvent C. xanthophyllum.
La réaction des spores à l'ammoniaque est plus visible sur exsiccatum.

Camarophyllopsis
atropuncta

Chapeau 2 cm au plus, mat, se craquelant, brun sombre à gris beige. Lames espacées épaisses. Stipe remarquablement ponctué de noir surtaout en haut. Spores 5-6x 4-5 µm. Souvent dans l'herbe.

Camarophyllopsis
atrovelutina

micro

Camarophyllopsis
phaeoxantha

Caractérisé par son pied jaunâtre. Spoes 4-6 x 4-5 µm.

Chroogomphus helveticus subsp. tatrensis

Sous épicéas. Chapeau feutré convexe de couleur crème orangé, lames décurentes. Sporée brun très sombre. La subsp.helveticus est mamelonné et vient sous les pins.

Chrysomphalina chrysophylla

Des récoltes luxuriantes en août 2003 de cette rare espèce vers Sallanches (Blancheville). La première récolte avec des lames contrastant fort avec le chapeau . Legit Claude Lequien

Chrysomphalina chrysophylla
Autre récolte à l'aspect plus classique
Clitocybe decembris
(= Cl. dicolor)
Chapeau très hygrophane brun peu déprimé devenant beige blanchâtre. Lames beiges. Stipe brunissant.
Spores 6-7 x 3,5-4 µm
. Sous hêtres à La Grangeat.
Clitocybe fuligineipes
En touffes dans l'herbe sous mélèzes à Argentière. Chapeau hygrophane, marge courtement striée. Stipe fibrilleux en haut, base bistrée. Odeur terreuse. Spores 5,5-8 x 3-4,5 µm. Bonne photo:BK(3):161.
Clitocybe gibba
Une forme on ne peut plus "gibbeuse" de ce clitocybe le plus souvent en entonnoir.
Clitocybe herbarum
 
Clitocybe metachroides
Dans la litière des mélèzes à Vallorcine le 28/9/03. Chapeau aplati lisse gras, brun, à marge légèrement pruineuse blanche.Très hygrophane, sèchant en cocardes. Lames grisâtres adnées-uncinées. Odeur herbacée. Spores 6,5-7 x 3,5-4,5 µm.
Cl. metachroa a des spores plus grandes jusqu'à 10 µm. Photo : RdM 1999(3):203
Clitocybe phaeophthalma
Appartient au s/s genre Cystoclitus Singer comprenant des clitocybes remarquables par la présence de cellules ampulacées à contenu parfois réfringent.
Il possède une odeur caractéristique dite "de poulailler".
Clitocybe phyllophila

Chapeau jusqu'à 10 cm, blanc givré marbré de beige avec l'âge. En troupe sous feuillus. Très toxique comme Clitocybe cerrusata (Cl. pityophila) qui vient sous conifères.

Clitocybe suaveolens
(= Cl. deceptiva)

Appartient au difficile groupe des clitocybes à odeur anisée. Il est souvent synonymisé avec Cl. fragrans et Cl. deceptiva . Le chapeau n'est pas ocellé, sa marge faiblement striée et il est souvent déprimé

Clitocybe subspadicea

Sous conifères et hêtres. Chapeau ombiliqué 2-5 cm brun olivâtre peu foncé, hygrophane, non strié. Lames décurrentes grisâtres? Stipe cylindrique grisâtre avec un cerne blanc sous les lames. Spores ellipsoïdes 6-8 x 3,5-4,5 µm.

Clitocybula lacerata
var. odorata

 

Clitopilus hobsonii

C'est le Clitopilus pleurotelloides de la Fl.Anal. de Kühner&Romagnesi. Sur branche décortiquée de feuillu et une récolte sur l'hyménium d'un vieux Phellinus ignarius. Chapeau et stipe blanc pur entièrement pubescent. Chapeau 2 mm au maximum. Odeur nulle. Stipe excentrique court pouvant être absent. Boucles nulles, spores 7-8 x 5-6 µm à côtes peu visibles, légèrement amyloïdes.

Clitopilus hobsonii
Aspect plus agé : le stipe devient peu visible.
Citopilus pinsitus
est une espèce plus grande à chapeau jusqu'à 4 cm et qui possède une odeur de farine. Clitopilus daamsii très comparable possède des spores plus grandes jusqu'à 12 µm.
Clitopilus scyphoides
Petit Clitopile à chapeau convexe, soyeux blanc, ne dépassant pas 3 cm. Chair faiblement farineuse. Vient sur terre nue au bord des chemin
La forma omphaliformis est encore plus petite (1,5 cm au maximum) et à chapeau déprimé.
Collybia acervata
= Gymnopus acervatus

Pousse en touffe sur tronc de conifères. Chapeau et stipe brun rougeâtre, spores ellipsoïdes 6-8 x 3-3,5 µm.

Collybia aquosa
Collybia aquosa

C'est la Collybia dryophila des sphaignes. Elle possède un pied enflé.

Collybia confluens

C'est l'un des champignons des forêts des plus communs. Il vient en touffes compactes et il donne un beau spectacle quand il vient de pousser....

Collybia impudica

De couleur brun ocracé carné. Odeur désagréable de choux pourri. On peut aussi la rencontrer dans les Dryades en zone alpine.

Collybia ocior
(= C. succinea)

Proche de C. dryophila mais à couleur plus foncé brun rougeâtre. Se rencontre dès le printemps en même temps que C. luteifolia qui possède des lames jaunes. Certains auteurs (Antonin et coll.) identifient les deux espèces.

Conocybe ambigua

Micro

Conocybe aurea

Conocybe à cystides lécithiformes partout. Chapeau pouvant atteindre 5 cm, d'une belle couleur jaune orangé. Spores 10-12 x 6-7 µm, à large pore x 2 µm. Boucles nulles. Autre
Micro

Conocybe echinata
(=C. sordida)

Chapeau non strié brunâtre. Stipe un peu bulbilleux Caractérisé par ses petites spores étroites 7-9 x 4,5-5 µm. Boucles présentes. Cheilocystides lécithiformes à tête mesurant jusqu'à 8 µm de diamètre. Stipes entièrement poudré à aculocystides lécithiformes. dans les pelouses/

Conocybe mairei

Récolte dans la mousse d'un terrain sablonneux le 12/9/03. Stipe entièrement poudré et base avec un petit bulbe blanc. Cheilocystides non lécithiformes(sect. piliferae), lagéniformes effilées. Spores lisses 6-8 x 3,5-4 µm, porées. Boucles nulles.

Conocybe rickeniana
(=C.spicula f. typica)

Chapeau fauve ochracé, strié. Stipe entièrement pruineux. Spores 7-10 x 4,5-6 µm . Cheilocystides lécithiformes à tête mesurant jusqu'à 8 µm de diamètre. Pelouses, clairières.

Conocybe rickenii
Les Intages le 7/7/02, sur fumier. Stipe entièrement strié densément velouté sans bulbe. Poils filiformes. boucles inconstantes. Cheilocystides lécithiformes. Basides bisporiques et grandes spores 15-17 x 8,5-10 µm à large pore.
Conocybe sienophylla
Appartient aux Pilosellae (pas de caulocystides lécithiformes). Chapeau conique inférieur à 1 cm, brun ocracé.Stipe entièrement pruineux. Spores 8-11 x 5-6 µm à pore bien net. Cheilocystides lécithiformes. Boucles présentes.
Coprinellus heptemerus
Habitat coprophile. Il fait partie des Setulosi qui regroupent les coprins possèdant des sétules piléiques. Spores 12-14 x 6-7,5 µm à pore excentré.
Coprinus angulatus
(= C. boudieri)

Sur charbonnières. Chapeau plissé, chatain à icracé. Spores 10 x 8 x 6 µm remarquablement mitriformes-lobées

Coprinus cinereus

Chapeau d'abord campanulé enveloppé d'un voile blanc méchuleux, devenant grisâtre et strié. Stipe à base subbulbeuse et apointie radicante. Ressemble macroscopiquement à C. macrocephalus qui a des spores beaucoup plus grandes.

Coprinus cinereus

Spécimens de tous âges Spores 9-11(12) x 6-7(8) µm à large pore central de 2-3 µm. Boucles présentes. Pleurocystistes nombreuses et grandes (visibles à la loupe) 50-85 x 20-40 µm.
Micro

Coprinus congregatus
Espèce fimicole souvent faciculée. Chapeau et stipe pruineux, à sétules visibles à la loupe. Spores ellipsoïdes à pore excentrique 12-14 x 6-7 µm. Basides tétrasporiques, boucles nulles. Autre
Gros plan
Micro
Coprinus cordisporus

Chapeau rosâtre à l'état jeune entièrement poudré de flocons blancs labiles, campanulé puis blanc étalé.
Boucles nulles. Basides bisporiques. Spores lenticulaires 9-11 x 6 x 7-9 µm brun rougeâtre dans l'eau, subglobuleuses à contour anguleux. Cheilocystides utriformes à lagéniformes. C. patouillardii est très proche mais est beaucoup plus gros.

Coprinus cordisporus

aspect jeune

Spores

Coprinus cortinatus

micro

Coprinus ephemerus

Appartenant aux Setulosi qui regroupent les coprins ayant de minuscules poils dressés sur le chapeau. On le rencontre sur les bouses de vache. Boucles présentent et spores allant jusqu'à 16 µm de long.

Coprinus episcopalis
Dans la litière de hêtres le 9/10/03 à Sous-le-Saix (Passy). Chapeau avec restes du voile. Stipe avec bulbe marginé. Boucles présentes. Spores 8-9 x 4-5 x 6,5-7,5 µm, mitriformes de face.
Coprinus macrocephalus
Récolte le 1/6/03 sur de la paille pourrissante. Chapeau d'abord campanulé à voile laineux (section lanulati). Boucles nulles. Grandes spores 11-16 x 7-9 µm à pore central. Pleurocystides nulles.
Coprinus megaspermus

Pseudocoprinus à chapeau glabre à cuticule strictement celluleuse-hyméniforme. Caractérisé par ses grandes spores 12-18 x 9-11 x 7,5-10 µm à pore légèrement excentré.

Spores

Coprinus pellucidus

Appartient aux Setulosi comme Coprinus ephemerus. Boucles absentes et spores inférieures à 11,5 µm de long.


Coprinus pseudoniveus

C'est un Coprinus niveus de teinte rose et à spores plus petites .Espèce peu rare que je récolte sur bouses chaque année aux Intages (Combloux) MEN 3630A. Je l'avais déterminée C. niveus f. rosea d'après l'étude de Citérin (DM 95 :2). L'étude récente de René Chalange (SMF 2002 t.118(1) :20) montre que cette espèce avait été typifiée par Bender et Uljé en 1993. A aussi longtemps été confondu avec C. roseotinctus

Coprinus pseudoniveus

Autre récolte

spores

Coprinus romagnesianus
C'est un C. atramentarius avec un chapeau remarquablement moucheté d'écailles brun rouillé.
Autre
Coprinus rhombisporus

Petit coprin ne dépassant pas 3 cm de haut avec des plaques épaisses roussâtres sur le chapeau et qui pousse sur débris herbacés.
Spores lenticulaires rhomboïdales 7-9 x 5 x 6-7 µm à pore large. Hyphes du voile brunes à parois épaisses et diverticulées. Micro

Coprinus strossmayeri

 

Coprinus xanthothrix

C'est un Micacei de la section Domestici à chapeau voilé par des verrues blanches et roussâtres au sommet (bien visibles sous la loupe).
Spores légèrement lentiformes 8-10 x 6-6,5 x 7-7,5 µm à pore large.

Crepidotus applanatus
Surtout sur bois de feuillus très pourris. Chapeau jusqu'à 5 cm, blanchâtre hygrophane, lames blanches devenant brunâtres. Pied latéral très réduit ou absent. Spors globuleuses 5-6 µm, fineemnt épineuses. Cheilocystides clavées élargies. Boucle sprésentes .
Crepidotus epibryus
Sur brindilles de Rubus le 10/11/02.
Boucles nulles. Spores lisses cylindriques légèrement allantoïdes 8-10 x 2-3,5 µm.
Crepidotus lundelli
Vient sur bois de feuillus jusqu'en zone subalpine.Les spores ellipsoïdes sont sublisses, très faiblement ornementées et mesurent 6-9 x 4-5,5 µm. Les hyphes sont bouclées.

Crepidotus ehrendorferi

Espèce rare venant sur bois.
Spores parfaitement rondes, très finement spinuleuses. C. luteolus qui est également jaune possède des spores subcylindriques.
Micro

Cuphophyllus (Hygrophorus) berkeleyi

Dans les prés, plutôt rare. Hygrophore charnu à chapeau jusqu'à 10 cm blanchâtre à crème, non hygrophane. Saveur douce. Spores elliptiques 5,5-6,5 x 4-4,5 µm. Est aussi considérée par certains comme une forme blanche de l'hygrophore des prés ( C. pratensis).

Cystoderma amianthinum

Stipe avec une armille floconneuse se terminant par un petit bourrelet annulaire fragile.
Gros plan
Odeur terreuse.
La var. rugosoreticulatum a un chapeau remarquablement ridé.
Cyst. arctica possède un anneau membraneux. Cyst. jasonis n'a pas d'anneau.

Cystoderma jasonis

Cystoderma jasonis est proche de C. amianthimum mais   il possède un chapeau plus granuleux, des lames jaunâtres et des arthroconidies dans la subcutis. les pores sont aussi plus grandes 6-8 x 3-4,5 µm , amyloïdes.
Arthroconidies

Cystoderma amianthinum

autre récolte

Cystoderma fallax

Se rencontre sous conifères de montagne. Sa couleur ferrugineux-fauve et son anneau membraneux ample l'identifient. Spores amyloïdes.
autre

Cystolepiota adulterina

Chapeau ne dépassant pas 5 cm, pulvérulent crême à beige (rosé dans la var. reidii). Stipe pulvérulent à zone annulaire discrète. Spores 5,5-6,5 (7)x 2-3 µm. Cheilocystides moniliformes.
autre
Spores


Cystolepiota adulterina
var. reidii.

 

Cystolepiota bucknalii

Une petite lépiote qui vient dans les endroits nitrophiles souvent dans les orties. Se reconnaît immédiatement à son odeur de gaz d'éclairage. Belle couleur violet lilacin à l'état frais.
Cystolepiota hetieri
Chapeau pulvérulent dans la jeunesse, blanc-crème rufescent à la manipulation. Stipe à armille floconneuse, concolore au chapeau. Sous feuillus rudéralisés, orties..
Cystolepiota moelleri
(=C. rosea)
Chapeau rosâtre farino-floconneux. Le pied est floconneux avec un zone annulaire fugace.
Cystolepiota seminuda

Chapeau blanc pur à marge appendiculée à l'état jeune. Le stipe est progressivement envahit de rougeâtre à partir de la base.
Très proche C. sistrata possède un chapeau ocre rosâtre et est moins gracile (voir Sv. 412)
autre

D
 
Dermoloma josserandii

Chapeau (jusqu'à 2,5 cm) vite aplati, de couleur brun palisssant à grisâtre. Lames décurrentes en filet, épaisses et espacées. Odeur et saveur farineuse. Spores amyloïdes 5-7(8) x 4-5 µm Hyphes piléiques ssphéropédonculés. Peut se confondre avec D. pseudocuneifolia qui possède des lames échancrées à sublibres et des hyphes piléiques allongés.

E
 
Echinoderma echinaceum var. cedriolens

Sous chênes, son odeur nette de bois de cèdre la distingue du type. Chapeau jusqu'à 6 cm, hérissé avec des verrues coniques, brun fauve, labiles. Spores ellipsoïdes, petites 4-5 x 3 µm. Boucles présentes.

Entoloma albotomentosum

Un Entolome d'aspect pleurotoïde (s/g Claudopus). Chapeau blanc ne dépassant pas 1 cm . Lames très espacées, adnées-décurrentes. Petit stipe excentré. Odeur nulle. Cordons mycéliens bien visibles.
Leg. Cl. Lequien
Autre récolte
+
Spores
.

Entoloma albotomentosum

Spores 9-11 x 7-8 µm à 5-6 angles?
.

Entoloma caccabus

Chapeau jusqu'à 4 cm, profondemment déprimé, brun foncé à l'état humide, lisse d'aspect gras et non strié. Lames espacées décurrentes. Stipe pâle ± comprimé. Odeur et saveur fortement farineuses. Spores 9-11 x 6,5-7,5 µm. Boucles présentes. Cystides nulles. Pigment intracellulaire.

Entoloma atromarginatum

Chapeau brunâtre longuement strié. Les lames à arête noirâtre permettent de le distinguer de E. longistriatum

Entoloma caesiocinctus

Leptonie à chapeau brunâtre dont la marge est bordée de bleu. Lames remarquablement crénelée de bleu-noir.

Entoloma chalybaeum

Chapeau fibrillo-squameux d'une belle couleur noir bleuté. Lames bleutées à l'origine. Marge non striée alors que E. lazulinum possède la marge stiée.

Entoloma conferendum

Récoltes en zone alpine
autre

Entoloma conferendum

Dans son aspect imbu on peut le confondre avec E. longistriatum. Mais les spores étoilées lèvent l'ambiguité.
On le rencontre aussi souvent en bordure de tourbière.

Entoloma farinasprellum

Rare espèce rencontrée dans les lieux humides. Chapeau strié, vite aplati à centre déprimé. Odeur et saveur farineuse légère.Spores 8-10x 6,5-7,5 µm. Boucles présentes.

Entoloma flocculosum

Chapeau ne dépassant pas 2 cm, ombiliqué, brun noirâtre, non strié, feutré squamuleux. Lames espacées et décurrentes. Odeur nulle. Spores 8-10 x 7- 8,5 µm, subisodiamétriques. Pigment mixte incrustant et intracellulaire, boucles nulles. Peut se confondre avec E. rusticoides dont le chapeau est lisse et strié à l'état humide.

Entoloma formosum

Chapeau à couleurs vives, jaune orangé, strié devenant fibrillé-squamuleux. Spores jusqu'à 13 x 8 µm.

Entoloma griseopruinatum

Entolome nouvellement créé que j'ai récolté dans une hêtraie calcaire d'altitude (1400m) au Chatelet d'Ayères le 24 sept 2003, 4 spécimens avec un pied remarquable  fusiforme-radicant et un chapeau brun noirâtre, non hygrophane, non strié, et pruineux au centre. Odeur et saveur nettement farineuses.
Spores polygonales à 5 angles 9-11 x 7-8 µm. Basides tétrasporiques élancées 60 x 10 µm. Pas de cheilocystides. Boucles nombreuses partout en anses d'anastomoses souvent très larges. Piléipellis à pigment intracellulaire en grains bruns noirâtres.

Entoloma griseorubidum

Chapeau gris-brun, convexe aplati, mat aranéeux fibrillé, non strié. Lames adnées uncinées. Spores 11-13 x 8-9 µm. Basides bouclées. Cheilocystides lagéniformes, fusiformes.

Entoloma griseocyaneum

Leptonie à chapeau brun grisâtre squamuleux. Stipe gris bleuté.
Se rencontre aussi dans les paturages alpins.

Entoloma incanum

Se rencontre aussi dans les paturages alpins.

Entoloma leochromus

Chapeau brun bronze, jusqu' à 3 cm, convexe à centre ombiliqué, non hygrophane, non strié par transparence, complètement velouté avec de fines squamules. Lames adnées, blanches puis roses. Odeur nulle, saveur amère. Spores 10-12 x 7-8,5 µm. Basides non bouclées. Cheilocystides nulles. Epicutis en trichoderme à hyphes clavées, pigment intracellulaire.
Vient sous feuillus (Fraxinus, Alnus).

Planche

Entoloma longistriatum


Entoloma mougeotii

Commun en zone alpine. La couleur noir bleuté du chapeau devient ardoisé (= E. ardosiacum).Stipe ardoisé, fibrilleux. Spores 9-12 x 6-8 µm ; cheilocystides cylindriques. Boucles absentes.

Entoloma nitens

Chapeau gris- brun jusqu'à 4 cm, conique à campanulé, hygrophane et strié à la marge, très palissant en séchant. Stipe strié par des fibrilles argentées. Odeur et saveur raphanoïdes. Spores isodiamétriques 8-10,5 x 7,5-10 µm. Vient sous feuillus.
Planche SMF 2000 t. 120 : 339.

Entoloma poliopus

Leptonie à chapeau brun bistré, peu strié. Stipe glabre, d'un beau gris bleuté. Spores 10-13 x 6-8 µm, cheilocystides cylindriques. Boucles absentes.

Entoloma prunuloides

Dans l'herbe des prés. Chpeau glabre non hygrophane grisâtre à ochre olivacé. Lames blanches puis rose vif. Chair blanche, saveur et odeur farineuses. Spores globuleuses 6,5-8 µm avec 5-7 angles.

Entoloma rhodocylix

C'est le plus petit des Entolomes à aspect trompeur d'omphale. Récolte fin juillet sur bois pourri de charme. Chapeau ombiliqué de 0,4 à 0,7 cm , grisâtre et strié par transparence. Lames grisâtres peu nombreuses et nettement décurrentes. Spores isodiamétriques, anguleuses. Cheilocystides cylindracées, élancées lagéniformes.

Entoloma rhodopolium

Chapeau vite aplati, brun grisâtre, lisse et hygrophane. Stipe blanc, cylindracé, fragile. Inodore. En troupe sous feuillus.

Entoloma rusticoides

Autre

Entoloma roseum

Chapeau rose fibrilleux à subsquamuleux. Lames blanches. Stipe lisse pâle. M. Bon en fait une forme leucophyllum car le type possède des lames et un stipe rose.

Entoloma serrulatum

Chapeau et stipe bleu noirâtre. Lames typiquement bleutée a arête pointillée de noir.

Entoloma serrulatum

Chapeau 13 cm, ombiliqué (leptonia) bleu noir à marge non striée. Lames à arête denticulée bleu noir. Stipe bleuté cylindrique. Spores 9-11 x 7-8,5 µm. Cheilocystides cylindracées à pigment intracellulaire bleu. Boucles absentes.

Entoloma sodale

Chapeau brun, strié, devenant squamuleux. Lames blanches. Stipe teinté de bleuté. Spores 10-13 x 7-9 µm. Cheilocystides clavées nombreuses sur l'arête des lames.

F
 
Fayodia gracilipes
( Fayodia bisphaerigera)

Se rencontre sous conifères, dans la mousse. Aspect de Mycène. Chapeau brun brillant à marge striée. Lames adnées subdécurrentes. Basides bisporiques. Spores rondes 8-10 µm, épineuses, amyloïdes.

Flammulaster carpophilus

Vient parfois en très grand nombre sur les feuilles de hêtres et sur les faines. Possède une odeur typique de géranium.
autre1
autre2

Flammulaster carpophiloides

Sur débris ligneux de feuillus. Odeur nulle. Spores 7,5-9 x 5-6 µm sublosangiques et étirées.

Flammulaster subincarnatum

Petit Flamulaster de couleur ocre incarnat à allure de Tubaria. Bien caractérisé microscopiquement par ses cheilocystides cylindracées.

Flammulina velutipes

Sur troncs de feuillus en hiver. Stipe typiquement velouté de brun roux. Bon comestible cultivé au Japon.

G  
   

 

Galerina annulata

Voile du pied fibrillo-floconneux à annuliforme.

Galerina griseipes (=G. arctica)

Espèce classique de la zone alpine. J'ai eu la surprise d'en faire une récolte en décembre 2002 vers Combloux (850m) sur un rocher granitique colonisé de mousses. Cette Galerina a été typifiée sous le nom de G. griseipes. La base du stipe devient remarquablement noirâtre. Elle ne présente pas de boucles et les spores lisses mesurent 10-12 x 6-7 µm.
Micro
(Hyphes du stipe+cheilo)

Galerina atkinsoniana

Dans le groupe rubiginosa caractérisé par des galères à stipe à base brun rougeâtre, elle possède des basides bisporiques et des piléocystides. Spores rugueuses, 11-15 x 7-9 µm. Pleurocystides et cheilocystides lagéniformes.
Exemplaires jeunes

Galerina badipes
( =G. cedretorum)

Sur branchettes de conifères ou sur débris végétaux Stipe à anneau cortiniforme parfois fugace. Lames espcées. Pleuro. et Cheilocystides lagéniformes. Basides bisporiques (parfois tétrasporiques). Spores 10-11,5(12) x 5-6(6,5) µm finement ponctuées avec plage lisse.
Micro

Galerina clavata
(= G. heterocystis)

Dans l'herbe et mousses des prairies sur sol non calcaire. Pied pruineux et avec fibrilles blanches. Spores grandes 13-16 x 7-9 µm finememnt verruqueuses. Cheilocystides lagéniformes à sommet capité. Boucles absentes.

Galerina jaapii

Galère généralement élancée de la section Mycenopsis. Chapeau 0,7- 1,5 cm, strié. Voile annuliforme sur le stipe. Lames espacées ventrues. Spores finement ponctuées avec plage lisse, (11)12 -14 (15) x 6-7 µm jusqu'à 16 x 7,5 µm. Basides bisporiques. Cheilocystides lagéniformes capitées 40-60 µm de long 7-9 µm au col et 6-9 µm au capitule. Pas de pleurocystides. Boucles présentes partout. Micro

Galerina laevis


Galerina mairei

Une galérine typique des tourbières, à stipe dépourvu de voile. Typique par ses cheilocystides nettement capitées à tête jusqu'à 9 µm. Longtemps nommé S. tibiicystis qui est une espèce américaine.

Galerina mairei Galère remarquable par ses cheilocystides nettement capitées (tête jusqu'à 9 µm). C'est la plus commune du genre dans les tourbières. Chapeau avec un mamelon large, marge striée. Le stipe est pruineux non voilé, ce qui la distingue de G. hybrida.
G. sphagnicola a des spores sublisses légèrement boursouflées. G. sphagnorum qui a aussi des spores sublisses n'a pas de cheilocystides capitées.
Galerina marginata

Espèce mortelle.
Typique par son anneau membranaire et son odeur farineuse.

Galerina muricellospora

Micro

Galerina triscopa

Sur souches de conifères. Chapeau ne dépassant pas 2 cm avec petit mamelon. Stipe brun rouge avec fibrilles. Spores petites 7-8 x 4-4,5 µm finement ponctuées. Pas de pleurocystides.

 

Galerina unicolor
Peut se confondre avec G. marginata mais l'espèce est plus gracile et possède un anneau étroit vite oblitéré. Vient sur débris ligneux ou brindilles.
Galerina unicolor
 
Galerina paludosa Galerina paludosa Une galère banale des tourbières, mais c'est l'une des plus jolie !
Galerina paludosa Galerina paludosa Une galère banale des tourbières, mais c'est l'une des plus jolie !
Galerina sphagnorum


Galerina sphagnorum

Plan rapproché.

Galerina stordalii

Micro

Galerina stylifera

Galerina de la section Tibiicystidiae (à cheilcystides nettement capitées). Lignicole, chapeau luisant visqueux à l'état humide. Stipe nettement guirlandé d'un voile blanc. Spores lisses 7-9 x 4-5 µm.

Galerina subclavata

Vient dans la mousse jusqu'en ZA. Stipe à voile fugace. Bien caractérisée par ses basides bisporiques et les hyphes non bouclées (Sg. Tubariopsis). Spores 12-15 x 7-8 µm, sublisses finement ponctuées.

Galerina vittiformis

Chapeau glabre brun roux palissant à ocracé, strié par transparence. Lames espacées, adnées. Stipe entièrement poudré à base devenant brun rougeâtre. Basides tétrasporiques. Spores ruguleuses 8-10 x 5-7 µm. Pleurocystides nombreuses. Pas de piléocystides.

Galerina vittiformis

Chapeau hemisphériquebrun roux, strié. Lames ventrues. Stipe entièrement pruineux, à base brun rougeâtre sombre.Basides tétrasporiques. Spores ruguleuses 8-10x 5,5-6,5 µm µm. Pleuro- et cheilocystides fusi-lagéniformes.

Gerhardtia incarnatobrunnea

Appartient aux Lyophyllaceae (basides carminophiles) et se différencie par l'absence de boucle. Odeur très légèrement farineuse. Spores 5-6 x 2,5-3 µm à ponctuations difficilement visibles.

Gymnopilus liquiritiae var. satur

Sur conifère. Chapeau lisse, brun rouge chaud. Lames jaune vif. Pied concolore non noircissant. Saveur amère et odeur subnulle. Cheilocystides à col étroit et capitées. Spores 8-10 x 4,5-5,5 µm verruqueuses sans plage lisse.

Gymnopus (Marasmiellus) perforans

Marasmiacée très commune en troupe sous conifères, greffées sur les aiguilles. Chapeau jusqu'à 1,5 cm. Son pied finement velouté et son odeur de chou pourri le distinguent de Gymnopus androsaceus.

H    
Hebeloma hetieri
(= H. tomentosus)

Chapeau jusqu'à 9 cm, hémisphérique, velouté à squamuleux, crème ocracé. Lames non pleureuses. Stipe sans cortine, finement pruineux. Odeur forte dite de "sucre brûlé", de "Harpic".
Spores 11-16 x 7-9 µm, dextrinoïdes, périspore peu décollée.
Autre

Hebeloma hygrophilum

Chapeau discolore proche de H. mesophaeum. Lames ventrues sans micropleurs. Stipe cortiné à base brunissante.. Se distingue par ses spores 10-13 x5-7 µm, amygdaliformes légèrement dextrinoides. Espèce montagnarde sous Salix dans les mousses en milieu humide. Voir bull. FAMM 36

Hebeloma lateritium (=edurum)


Hebeloma pumilum

Appartient aux Scabrispora qui ont des spores calyptrées. Chapeau petit 2 cm, visqueux brun à marge plus pâle.Stipe pâle , immuable. Spores 8-11 x 4-5 µm, sublimoniformes.

Hebeloma sacchariolens

Chapeau jusqu'à 6 cm, visqueux crème ocracé unicolore. Lames non pleureuses. Stipe non cortiné. Odeur forte dite de "sucre brûlé", de "Harpic".
Spores 12-15 x 6-8 µm citriniformes, fortement verruqueuses à périspore décollée, dextrinoïdes. Basides 30-50 x 8-11 µm.
micro

Hebeloma syrjense (subsaponaceum)

En troupes de plusieurs dizaines d'exemplaires peu charnus à Plaine-Joux en septembre et octobre. Chapeau jusqu'à 5 cm, vite aplati crème ochracé, micacé et visqueux. Lames sèches sans micropleurs. Stipe poudré sous les lames, remarquablement cassant, à base devenant bistre noir. Odeur subnulle et saveur légèrement amarescente. Spores amygdaliformes, à verrues fines 8-10 x 5-7 µm. Cheilocystides cylindracées, ± clavées.

Hebeloma syrjense (subsaponaceum)

 

Hemimycena lactea

Dans les aiguilles de conifères. Chapeau de taille faible (<1,5 cm).Lames adnées. Les cheilocystides capitées comme les poils du revêtement piléiques permettent de le distinguer. Pas de pleurocystides. Spores longuement cylindriques 7-10 x 2,5-3 µm. Stipe glabre avec la base hérissée.

Hemimycena pseudolactea

Chapeau jusqu'à 2 cm, finement pruineux. Lames ascendantes. Stipe finement pruineux avec la base hérissée. Spores 7-8 x 2-3 µm. Pleurocystides abondantes, ventrues, à sommet largement arrondi. Sous conifères.

Hemimycena cf pseudocrispula
(forme bisporique)

Entièrement blanc pur. Chapeau glabre 2 mm campanulé crispé. Lames espacées peu nombreuses (10), très décurrentes. Stipe long (3cm) filiforme, entièrement pruineux, base sans rhizoïdes. Basides majoritairement bisporiques, pas de boucles. Spores larmiformes 9-11 x 4-5 µm . Pas de cystides. Stipe pourvu de poils à parois épaisses (jusqu'à 100x 7µm). Signalons que kühner donne des spores 11,5-16 x 3,5-4,5 µm.
Très proche H. crispula s'en distingue par un chapeau possèdant des poils longs à parois épaisses comme ceux du stipe.

Hygrocybe acutoconica var. acutoconica

= H. persistens var. langei.
Chapeau visqueux jaune orangé, généralement pointu. Lames plus pâles. Basides bisporiques. Spores 11-14 x 6-9 µm.

Hygrocybe acutoconica

autre récolte

Hygrocybe aurantiolutescens var. parapersistens


Chapeau jusqu'à 4 cm, jaune orangé, peu visqueux, vite aplati. Lames jaunes pâles sublibres. Basides tétrasporiques. Spores 11-14 (15) x 5-7 (7,5) µm. Basides 37-47 x 12-14 µm. Boucles présentes.
Micro

Hygrocybe acutoconica

= H. persistens var. langei.
Chapeau visqueux jaune orangé, généralement pointu. Lames plus pâles. Basides bisporiques. Spores 13-16 x 7-9 µm.

Hygrocybe calciphila
Récolté en très grand nombre dans une zone humide sur calcaire avec saules et sorbiers des oiseleurs, à Plaine-Joux (1300 m). Le chapeau est très hygrophane et passe à la couleur orangé. Les spores sont elliptiques non étranglées.
Hygrocybe calciphila

Un groupe de spécimens d'abord à l'état humide puis à l'état sec montrant le chapeau velouté squamuleux qui explique sa classification dans les Sqmuamulosae

Autre récolte d'exemplaires à lames nettement décurrentes : photo

Autre

Hygrocybe cantharellus

Chapeau sec devenant squamuleux (squames non noircissantes). Lames fortement décurrrentes. Spores 9-12 x 5,5-7 µm, elliptiques, subcylindriques parfois un peu étranglées.
autre

Hygrocybe cinereifolia

Lames gris cendré dès la jeunesse. Noircissement intense.

Hygrocybe chlorophana

Chapeau vite plat, visqueux, jaune citrin grisonnant. Stipe visqueux. Lames jaune à arête blanche.

Hygrocybe insipida

Chapeau 1-3 cm, un peu visqueux, rouge à margé typiqueemnt jaune. Lames adnées jaunes à arête blanche. Saveur douce qui la distingue de H. reai. Spores 7-8 x 4-4,5 µm ellipsoides.

Hygrocybe konradii


Hygrocybe marzuolus

Très recherché - entre autre- par les écureuils à la fonte des neiges.
Sous hêtres avec souvent des sapins ou épicéas.

Hygrocybe pseudoconica var. tristis

Chapeau jaune orangé vite noircissant. Stipe trapu, fibrilleux. Basides tétrasporiques. Spores plus petites que celles du type 8-10 x 5-6 µm.

Hygrocybe reae


Hygrocybe reidii

Appartient aux squamulosae. Chapeau glabre orangé, devenant feutré en séchant. Odeur typique de miel .

autre

Hygrocybe rhodophylla

Rare hygrocybe entièrement rouge, lames comprises. Il appartient aux squamulosae.

Hygrocybe substrangulata

Il appartient aux squamulosae .Chapeau 1-3 cm, rouge orangé squamuleux. Lames adnées jaune orangé à rougeâtres. Spores 9-12 x 5-7 µm. ellipsoïdes souvent un peu étranglées.

Hygrocybe tephroleucus

Le stipe est fibrilleux à ponctué de gris brunâtre. H. pustulatus s'en distingerait par les pustules foncées sur le stipe, mais ce caractère ne me semble pas pertinent.

Hygrocybe viola

 

Hygrophorus (Cuphophyllus) berkeleyi

Dans les prés, plutôt rare. Hygrophore charnu à chapeau jusqu'à 10 cm blanchâtre à crème, non hygrophane. Saveur douce. Spores elliptiques 5,5-6,5 x 4-4,5 µm. Est aussi considérée par certains comme une forme blanche de l'hygrophore des prés ( C. pratensis).

Hygrophorus camarophyllus

Sous conifères humides en montagne. Chapeau jusqu'à 10 cm, foncé, fibrilleux, contrastant avec les lames blanches qui sont ± décurrentes. Pied concolore au chapeau. Spores ellipsoïdes 6-7,5 x 4-5,5 µm. La variété calophyllus possède des lames roses.

Hygrophorus erubescens var. persicolor

Se différencie de H. erubescens var. erubescens par sa saveur douce et sa chair blanche immuable. Spores 8-9 x 5- 6µm. Vient sous épicéas. De création récente (1992) H. fragicolor Papetti possède une chair douce mais la viscosité est amère ainsi que le pied, et des tons jaunes se développent dans la vieillesse.
Autre récolte

Hygrophorus fagi

Sous hêtres. Chapeau pouvant attendre 10 cm (rarement), charnu, crème parfois lavé de rosâtre. Stipe sec, pruineux au sommet. Lames espacées, crème, adnées à décurrentes. Spores 7-9 x 4,5-5,5 µm. Son identité avec H. barbatulus se pose.

Hygrophorus lindtneri

Sous feuillus divers, noisetiers et aussi sous hêtres où il poussait par centaines (Luzier-Sallanches). Le pied n'est pas visqueux et presque sec. Le nom de H. leucophaeus doit être abonné comme nomen ambiguum.
voir BK(3) : 131 (sn. H. unicolor)

Hygrophorus mesotephrus

Chapeau à disque foncé, lames blanches décurrentes, stipe visqueux. Sous feuillus en particulier hêtre. Spores elliptiques 9-11 x 5-6,5 µm.

Hygrophorus exiguus

Hygrophore très proche de H. odoratus et de H. agathosmus dont il partage l'odeur de colle blanche. Le chapeau blanchâtre à gris ne dépasse pas 2,5 (3) cm est est un peu visqueux. Lames épassies décurrentes pouvant devenir rosâtre. Spores ellipsoïdes 8-11 x5,5-6,5 µm.

Hygrophorus queletii

Récolte du 2/10/03 dans l'herbe sous mélèzes à Argentière. MEN 3630C. Chapeau de 4 cm maximum, crème avec le centre rosâtre, légèrement visqueux. Lames décurrentes remarquablement jaunes. Boucles nulles. Spores 9-11 x 4,5-6 µm.

Hygrophorus russula

 

Hypholoma sublateritium

Sur souches diverses. Chapeau jusqu'à 12 cm rouge brique avec des flocons crèmes. Lames grisâtres.

I    
Inocybe amygdalospora

Espèce de Métrod invalide, qu'il conviendrait de retypifier. Récolte le 11/10/03 à Passy, sous hêtres sur calcaire. Stipe blanchâtre entièrement pruineux non bulbeux (Phaeoleucinae). Les spores sont grandes 11-14 x 6,5-7,5 (8) µm et remarquablement amygdaliformes. Les cystides sont courtes et largement clavées 45-55 x 17-21 µm, et les basides sont bisporiques. Semble correspondre à I. hirtella f. bispora Kuyper

Inocybe bresadolae Récoltes régulières sous chênes et charmes en terrain sablonneux. Chapeau blanchâtre avec un mamelon obtus fauvâtre. Rougissant au toucher. Odeur jasminée. C'est un goniosporé marginatae.
Inocybe bresadolae Autre récolte. La synonymie avec I. capucina est posée.
Inocybe brunneorufa Sous chênes et charmes. C'est un goniosporé à stipe rosâtre entièrement poudré avec un bulbe marginé. Voir pl 36/4 de Stangl (sn. I. calida)
Inocybe curvipes Incoybe goniosporé appartenant aux Cortinatae. Stipe égal souvent coudé à base brunissante. Spores 9-12 x 7-8 µm à bosses basses. Souvent sous feuillus hygrophiles, au bord des chemins.
Inocybe decipiens
Chapeau jusqu'à 4 cm, convexe avec mamelon bas obtus, brun fauvâtre, subglabre à tomenteux et souvent sali de terre. Stipe entièrement poudré, blanchâtre à ocracé avec un bulbe. Spores subrectangulaires 10-14 x 6,5-8 µm à angles obtus et bosses peu dicernables.
Inocybe fuscidula
var. bisporigera
 
Inocybe geophylla var. lilacina
 
Inocybe hirtella
 
Inocybe jurana
( = I. adaequata)
 

Inocybe lacera

L'un des inocybes des plus polymorphes (12 variétés !). Ses grandes spores typiquement fusifomes boletoïdes et son stipe à base brunissante permettent de l'identifier.
autre

Inocybe lacera
var. rhacodes

Micro

Inocybe lacera
f. subsquarrosa

Sur un sentier caillouteux siliceux à Argentière (1250m). Chapeau remarquablement écailleux
Inocybe langei
Chapeau ocracé fauvâtre, fibrillo-squamuleux. Stipe poudré en haut, bulbeux. Spores typiquement petites 7-8 x 4-5 µm.
Inocybe mixtilis Pas toujours facile à distinguer de I. praetervisa. De taille plus petite, il possède un bulbe nettement marginé. Microscopiquement les spores ont des bosses plus prononcées et les cystides (= caulo-) sont courtes (<60 µm).
Inocybe mixtilis v. aurata Inocybe goniosporé. Son chapeau cuivré fauve doré le différencie de mixtilis dont le chapeau est plus jaune.
Inocybe napipes

Goniosporé. Se distingue de I.umbrina par son bulbe plus accentué et ses spores à bosses très prononcées.

Inocybe piriodora var. chamaesalicis
 
Inocybe pisciodora
Acystidié. Odeur de poisson. Se rencontre au printemps mais aussi en automne (f. subautomnalis ?).
Inocybe pusio
f. laticaulocystidiata
Macroscopiquement c'est un I. pusio dont le stipe est entièrement poudré. Cystides 45-65 x 12-15 µm à paois fines x 1,5 µm, NH3 négatives. Spores 8-10 x 5-6 µm. Caulocystides 45- 55 x 13 µm à la base du stipe. Voir une autre récolte sous chênes verts dans le midi.
Voir FAMM 15:7 (1999/1).
Inocybe terrigena
Sous conifères. Chapeau jusqu'à 6 cm méchuleux puis fibrilleux, brun ochaacé à fauvâtre. Pied typiquement avec une zone annulaire et des bracelets de mêches. Odeur terreuse forte. Spore 10-12 x 6-7 µm. Arête des lames avec nombreux poils clavés.
Inocybe terrifera
Sous feuillus, chapeau voilé et souillé de terre. Chapeau robuste jusqu'à 8 cm. Stipe entièrement poudré non bulbeux. Leiosporé (Phaeoleucinae)
Inocybe scabella
 
Inocybe subbrunea
 
Inocybe tenebrosa
(I. atripes)
Stipe typiquement envahi de brun noirâtre. Odeur dite de banane...
Inocybe tenuicystidiata
 
Inocybe xanthodisca
? = I. posterula (Britz.) Sacc.
Inocybe leiosporé à caulocystides sommitales (Tardae). Son chapeau sublisse est blanchâtre avec le centre jaune ocracé. Spores 7,5-10 x 4,5-6 µm.
L
 
Laccaria affinis
Espèce proche de L. laccata mais à spores bglobuleuses avec des epines 1 µm. Chapeau nettement strié.
Lactarius cremor
Chapeau orangé taché de fauve, à marge flexueuse et crênelée. Saveur douce, odeur de lierre. Lait acqueux-opalescent.
Lactarius deterrimus
Chapeau un peu visqueux d'abord orangé puis envahit de vert. Stipe orangé sans fossettes et avec un anneau blanc au sommet. Lai orangé caroote devant rouge sang en 30 min. Saveur ± piquante ou amère.
Lactarius evosmus
Il se distingue des autres Zonarii par son chapeau très pâle, peu zoné.Chair immuable. Odeur fruitée. Il se rencontre sous feuillus dans les zones plutôt humides (photo : récolte sous peupliers blancs). Spores 7-8,8 x 6-7 µm crétées- zébrées. Basides tétrasporiques.
Lactarius fulvissimus
Sous feuillus (charmes) en terrain calcaire. Chapeau jusqu'à 10 cm, brun roux, à cuticule sèche se craquelant avec l'âge et largement déprimé. Lames décurrentes Stipe roussâtre devenant souvent sombre. Lait blanc immuable. Chair subdouce un peu amère puis légèrement âcre. Spores subglobuleuses 7-9 x 6-8 µm, à verrues isolées, catenulées à subcrêtées.
Lactarius glaucescens
Chapeau 5-6 à 8 cm, lisse, comme glacé, micacé ; lames arquées, subdécurrentes, très serrées, de couleur crème chair ; chair blanche lentement vert jaunâtre à grisâtre olive ; réaction diffuse et lente en violet puis bleu du formol sur la chair.
Lactarius intermedius
Un lactaire qui a fait couler beaucoup d'encre !. Il se distingue de L. scrobiculatus par sa marge peu barbue et par un pied dont les scrobicules sont peu marqués.
Lactarius lepidotus

Sous aulnes verts. Chapeau grisâtre, sec devenant gercé à crevassé, muni d'une petite papille centrale. Stipe petit et pâle. Lait blanc immuable, peu abondant. Chair subdouce.

Lactarius luridus

Chapeau brun roussçatre à gris brunâtre, visqueux et brillant, légèrement zoné. Stipe creux , viscidule, crème jaunâtre.Lait blanc devenant violet profond sur le chair. Chair et lait âcre. Vient sous feuillus.

Lactarius obscuratus var. subalpinus
Lactaire commun dans les aulnaies vertes de la zone alpine. Le chapeau ne possède aucune trace de verdâtre et la marge est striée.
Lactarius representaneus
Sous épicéas. Chapeau barbu-laineux à la marge et lisse et billant au centre. Odeur fruitée agréable, saveur amère piquante. Stipe avec des fossettes. Lait blanc devenant violet.
Proche de L. scrobiculateus dont le lait devient jaune citron.
Lactarius rubrocinctus
Sous hêtres. Chapeau ridulé brun rouge. Lames décurrentes en filet. Stipe souvent avec cerne rougeâtre sous les lames. Lait blanc immuable.
Lactarius spinosulus
Sous bouleaux uniquement. Chapeau 2-7 cm rose lilas couvert de petites mèches retroussées.
Lactarius spurius
Sous conifères et feuillus. Lait blanc devenant verdâtre, ne jaunissant pas avec la potasse ce qui le différentie de L pergamenus (glauscescens). Saveur âcre.
Lactarius subdulcis
Sa couleur chamois et le lait blanc immuable, de saveur douce puis légèrement amère permet de l'identifier.
Lactarius subdulcis
autre récolte
Lactarius sphagneti

Sa couleur brun rougeâtre saturé et son habitat suffisent pour l'identifier.
Le lait blanc jaunit lentement après 1 min.

Lactarius tabidus
Vient aussi dans les tourbières avec bouleaux. La forme grêle à marge striée est souvent appelée L. theijogalus.
Lactarius tristis
Espèce à réhabiliter. Blum la définit comme « une espèce ayant le port d'un vietus avec les couleur d'un blennuis très délavé »Récolte du 10/10/03 à Sous-le-Saix (Passy) MEN 3530D. Sur sol argileux avec saules et hêtres. Chapeau gris-verdâtre à marge plus pâle, peu visqueux, zoné, centre avec un petit mamelon aigu. Lames serrées blanchâtres, lait blanc devenant gris vert. Piléipellis avec hyphes à pigment incrustant zébrant et en plaques. Spores subglobuleuses 7-8 x 6-6,5 µm bassement crêtées.
Lactarius vellereus
Grosse espèce (jusqu'à 25 cm) à chapeau blanc très tomenteux; lames espacées, étroites, +/- fourchues, cassantes ;le pied court et épais a une pointe qui casse presque toujours dans le sol, de manière très caractéristique ; lait blanc immuable à la potasse ; chair très âcre ; le lait est DOUX s'il est isolé. L. bertillonii à le lait âcre et le lait devient jaune avec la potasse.
lentinellus ursinus

Sur feuillus surtout hêtres, toute l'année. Chapeaux imbriqués à revêtement striqueux. Spores 3x2 µm finement verruqueuses.

Lentinus strigosus
(= Panus rudis)

Chapeau recouvert d'une abondante villosité ocracé pâle , rougeâtre au début. Lames décurrentes violacées puis brun jaunâtre. Spores 5-6 x 2,5-3 µm. Cheilocystides claviformes à parois épaisses.

Lentinus tigrinus

Appartient aux pleurotacées. Le chapeau ombiliqué montre des squames brunâtres. Les lames sont crême et décurrentes à arête serrulée. Stipe ferme squameux. On le rencontre surtout sur saules, peupliers.

Lepiota farinolens

Un récolte surprenante de cette petite lépiote thermophile plutôt méridionale en septembre 1995, dans les glariers de l'Arve au lac de Passy, face au Mt-Blanc ! Elle pousse dans les terrrains sablonneux avec Omphalina pyxydata. C'est la seule Lépiote ayant une odeur nette de farine (les rares L. mutuata et Cystolepiota microspora ont une faible odeur). Voir autre photo dans le bull. FMDS 160(2001):24.

Lepista saeva

Dans le prés de poussée tardive. Le Pied-violet est bien caractérisé par son pied. Chapeau hygrophane à chair dense, bon comestible. comme le Pied-bleu.

Lepiota grangei

Sous feuillus. Chapeau 2-3 cm, vert bleuté progressivement bronze. Pied squamuleux avec zone annulaire fugace. Spores éperonnées 9-12 x 3,5-4,5 µm.

Lepiota oreadiformis

Se rencontre dans les prés. Aspect d'une petite L. clypeolaria. Pied avec zone annulaire et fibrilles blanches fugaces. Chapeau ne dépassant pas 3,5 cm. Spores 10-14 x 4,5-6 µm. Proche de L. pratensis qui est une espèce plus charnue et plus grosse (chapeau jusqu'à 6 cm) avec des spores plus grandes.
Autre récolte

Lepiota sublaevigata

Chapeau excorié à squames concentriques. Pelouse sablonneuse.

autre récolte

Lepiota ventriosospora var. fulva

Se distingue du type par son chapeau non jaune citrin à la marge et son voile moins jaune.

Leucocoprinus birnbaumii

Récolté le 22 juin 2022 dans un pot de plantes exotiques. Chapeau 2-5 cm floconneux à méchuleux puis strié, jaune vif palissant. pied jaune avec anneau juane souvent fugace. Spores 9-11 x 5-7 µm; ovoïdes.

Leucocoprinus straminellus(=denudatus)

Récolté le 14 juillet dans un pot de plantes exotiques. Chapeau convexe (jusqu'à 2 cm) jaune pâle citrin, finement poudré et strié jusqu'à la moitié.Le stipe présente un bel anneau membraneux et est entièrement poudré. Spores ovoïdes 5-6 x 4-4,5 µm. Pas de boucles aux cloisons.

Lichenomphalia umbellifera

Une "omphale" lichénisée associé aux Botrydinia. Chapeau jusqu'à 2 cm, jaune pâle convexe à déprimé, à marge crénelée. Lames espacées décurrentes. Spores ellipsoïdes, 7-9 x 4,5-6 µm. Pigment pariétaire peu incrustant, boucles nulles.
Biblio : Mycotaxon 83 : 38 (2002)

Limacella illinita

Dans les forêts mixtes de feuillus et conifères. Chapeau jusqu'à 5 cm, glutineux fortement visqueux, blanc ocre argile. Convexe puis étalé. Odeur et saveur farineuses. Stipe pâle entièrement recouvert de mucus avec bourrelet annuliforme. Spores 5-6 x 3,5-4,5 µm.

Limacella ochraceolutea

Dans les forêts mixtes de feuillus et conifères. Chapeau jusqu'à 5,5 cm, hémisphérique puis aplati, visqueux, jeune ocre avec le centre orangé roussâtre. Stipe jaune ocre en bas sous la zone annulaire qui est peu marquée. . Odeur et saveur farineuses. Spores 4-5 x 3-4 µm. Boucles présentes.

Lyophyllum conglobatum

Chapeau convex, charnu, à marge longtemps enroulée, typiquement vergeté ridulé radialement de bistre grisâtre sur fond plus pâle. Signalons la var. albidopalllidum à chapeau blanchâtre que j'ai récoltée dans le midi.

Lyophyllum inolens var. umbonatus
En troupes sous conifères. Chapeau jusqu'à 5 cm, avec un mamelon bien prononcé, soyeux, brun bistre, hygrophane et courtement strié par transparence. Lames grisâtres sublibres. Stipe brunâtre poudré en haut. Spores 7-8,5 x 4-5 µm. Odeur et saveur nulles.

Lyophyllum palustre
(= Tephrocybe palustris)

Un classique des tourbières qu'on peut confondre avec un entolome. Il pousse en groupe. Chapeau fortement strié. Lames sublibres blanches. Spores 6,5-8 x 4 -5 µm. Odeur faible et saveur fraineuse rance.

Lyophyllum palustre
(= Tephrocybe palustris)

Un classique des tourbières qu'on peut confondre avec un entolome. Il pousse en groupe. Chapeau fortement strié. Lames sublibres blanches. Spores 6,5-8 x 4 -5 µm. Odeur faible et saveur fraineuse rance.

Lyophyllum rhopalopodium

Chapeau pouvant atteindre 15 cm et stipe avec un bulbe en oignon. Spores triangulairesde profil.

Lyophyllum transforme

Spores triangulaires. Stipe non bulbeux.
M
 
Marasmiellus vaillantii

= Marasmiellus languidus
Sur débris herbacés dans les stations humides. Les lames sont adnées à subdécurrentes. Spores fusiformes 8-10 x 3-4 µm. Cheilocystides clavées avec excroissances digitées.
Autre récolte

Marasmius collinus

Souvent confondu avec le "mousseron" Marasmius oreades car il vient aussi dans les prés. Son pied creux et son absence d'odeur (non cyanique) suffisent à le distinguer. Il est réputé comme légèrement toxique.

Marasmius curreyii

Sur débris de Poa annua au Storts (Passy) MEN 3530D. Chapeau brun rougeâtre à ocre fauvâtre , 5- 9 mm , en forme de parachute , mat et cannelé jusqu'au centre. Lames (entre 12 et 16) ridulées, blanchâtre crème, espacées, attachées à un collarium. Stipe lisse sétiforme brun rougeâtre. Spores 9-11 x 4,5-5,5 µm. Hyphes bouclées. Cheilocystides en brosse. Cette espèce ne doit pas être confondue avec Marasmius graminum de taille plus petite et qui possède des spores plus allongées jusqu'à 16 µm

Marasmius epiphylloides

Sur feuilles de lierre. Chapeau 5 mm au maximum , blanc pur, entièrement poudré. Lames pliciformes 6 à 9, stipe entièrement poudré blanc à base brunâtre. Spores cylindracées 13-16 x 3-3,5 µm . Cystides cylindracées fusiformes. Pileipellis avec hyphes piriformes en brosse digitée entremêlées de piléocystides fusiformes. Caulocystides à parois épaisses. M. epiphyllus vient sur les nervures et pétioles de feuillus et M. tremulae sur feuilles de trembles.

Marasmius epiphyllus


Marasmius quercophilus

En troupes sur les feuilles de Chênes.

Marasmius torquescens

Sous hêtres. Son stipe corné mat et velouté permet de le distinguer de M. cohaerens à stipe lisse luisant.
Cuticule avec spinules brunes comme sur le pied.

Rhizomarasmius undatus =Marasmius undatus
(= M. chordalis)

Sur débris de fougères aigles (Pteridium aquilinum). Chapeau ne dépassant pas 2,5 cm, crème brunâtre, pruineux. Lames crème, se tachant de brun rouge avec l'âge. Stipe grand jusqu'à 12 x 0,2 cm, beige à noirâtre, entièrement pruineux.
autre

Marasmius wynneae
(= M. globularis)

Vient en groupe sous feuillus. Chapeau gris lilacin jusqu'à 5 cm. Stipe brun rougeâtre devenant noirâtre, pruineux.

Melanoleuca subbrevipes
Chapeau jusqu'à 17 cm ! brun bistre foncé. Stipe cylindrique court, strié, à base clavée. Spores elliptiques à petites verrues isolées, 8-10 x 5-6 µm. Cystides peu visibles (voir dans les sinus des lames) en poils d'ortie.
Melanotus philipsii
Sur herbe décomposée (Carex...) on trouve cette miinuscule espèce pleurotoïde du genre melanotus (ou Psilocybe pour Vellinga &Noordeloos) à chapeau 0,2 -1 cm ocracé à marge appendiculeé par un voile blanc à l'état très jeune. Lames espacées légèrement décurrentes . Spores 5-6 x 3-3,5 µm avec un minuscule pore très peu visible. Cheilocystides lagéniformes avec un col étroit 18-25 x 5-6,2 x 4-5 x 2-3 µm. Jeunes exemplaires. Voir aussi la photo parfaite BC 2632 qui montre les deux aspects.
Mycena aurantiomarginata
Sur l'humus sous conifère er feuillus. Chapeau jusqu'à 2 cm, magnifique coloration safran vif des lames. Spores 8-10 x 4,5-5 µm, amyloïdes.
Mycena aurantiomarginata
Magnifique coloration des lames.
Mycena aetites
 
Mycena amicta
Stipe entièrement pruineux et base bleue typique.
Mycena bulbosa

Récolte le long d'un ru à la base de carex. Chapeau grisâtre strié ne dépassant pas 5 mm . Stipe muni d'un disque basal non rayé. M. stylobates plus commun possède un disque basal cannelé.

Mycena capillaripes

Typique par ses lames uncinées espacées à marge brun rouge. Stipe élancé et fin. Cheilocystides et pleurocystides nombreuses, lisses, ventrues fusiformes. Spores 9-11x 4-5 µm avec une grosse goutte centrale. Boucles présentes.
Récolte le 7/7/02 sous épicéas avec sphaignes.

Mycena capillaris

Espèce commune mais très petite qui vient en troupes sur les feuilles de hêtres. Chapeau 4 mm maximum, gris blanchâtre, strié sillonné. Stipe filiforme lisse. Pileipellis à hyphes en brosses denses. Cheilocystides clavées en brosses. Spores 8-12 x 3-4 µm cylindracées. Boucles présentes

Mycena cyanorrhiza
Petite espèce à chapeau inférieur à 1 cm. Facile à identifier par sa base bleue.
Mycena epipterygia var. splendidipes

Chapeau pâle, lames blanches immuables, stipe d'un beau jaune citrin.

Mycena favrei

Sous rhododendron en zone subalpine et alpine.

Mycena flos-nivium

Espèce printanière de l'éyage montagnard et alpin, venant immédiatement après al fonte des neige. Bien caractérisée par son chapeau foncé strié, par la base du pied blanche fortement strigueuse.

Mycena filopes

 

Mycena flavoalba

Chapeau vite aplati blanc jaunâtre, strié par transparence. Saveur douce (mais amère dans la var. amara). Cystides fusiformes lisses à extrémité parfois englobée dans un gélin jaunâtre. Spores 8-8,5 x 3,5-4 µm.

Mycena galericulata

 

Mycena galericulata

 

Mycena haematopus

Souvent en touffe sur feuillus. Chapeau brun rouge bord dentelé. Pied exsudant à la coupe un lait rouge sang.
Gros plan

Mycena hiemalis

Espèce qui peut venir très tardivement sur les troncs moussus de gros arbres vivants. Récolté le 5/12/02 dans la ville de Sallanches sur robinier. Chapeau gris cendré petit (1,3 cm au maximum), strié par transparence, parfois avec un petit mamelon. Cheilocystides lisses, lagéniformes. Spores 7-9 x 5-6 µm, non amyloïdes.

Mycena inclinata

En touffe dense. Chapeau strié à marge denticulée. Lames blanches ascendantes, espacées. Odeur et saveur de farine rance. Stipe à base devenant ambreroussâtre. Spores 8-11 x 5,5-7µm.

Mycena leptocephala

Chapeau conique puis convexe, brun grisâtre, strié par transparence. Lames blanches ascendantes, espacées. Odeur souvent alcaline. Stipe grisâtre pruineux. Spores 8-11 x 5-6 µm, cystides fusiformes-ventrues.

Mycena ochrogaleata

Il suffit de soulever les feuilles très piquantes des Cirsium spinosissimum pour découvrir cette fragile mycène qui vient sur les feuilles pourrissantes.

Mycena pura f. roseoviolacea

 

Mycena pseudocorticola

Chapeau ( 0,5 cm) pruineux d'une belle couleur grisâtre violacé, strié jusqu'au centre. Lames grisâtres, espacées, uncinées à subdécurrentes. Stipe court, concolore au chapeau et pruineux jusqu'à la base. Basides bisporiques avec des spores non amyloïdes globuleuses de diamètre de 8 à 13µm.

Mycena pterigena

Magnifique et minuscule Mycena (chapeau 5 mm) venant sur débris de fougères. Les lames ont des arêtes soulignées de rose corail vif.

Mycena pterigena

Plan rapproché

Mycena renati

Sur bois de hêtre. Une mycène d'identification facile avec son pied jaune vif et son chapeau brun lilas. Spores 9-11 x 5-6 µm.

Mycena rubromarginata

Sur bois. Lames blanches à arête colorée vineuse .Chair inodore. Spores 10-12 x 6-7 µm. Cystides fusiformes avec des excroissances.

Mycena sanguinolenta

Un habitat peu classique dans les sphaignes (signalé aussi par J. Favre). Outre le lait, les lames sont bordées de brun vineux.

Mycena smithiana

Sur feuilles décomposées de chênes. Chapeau très petit 2-4 mm, lames blanches peu nombreuses 7-8 et lamellules intercalées. Stipe filiforme lisse. Cystides clavées en brosse. Basides bisporiques , spores 10-12,5 x 4,5-6 µm. Semble correspondre au M. debilis de Lange (pl. 57H)

Mycena speirea

Chapeau 5 mm avec petit téton central. Lames espacées par 13 grandes lames + lamelles et lamellules intercalées, horizontales à uncinées.
Pied entièrement pubescent. Basides bisporiques, spores ellipsoïdales 8-10 x 5-6 µm.  Boucles nulles.Cheilos flexueuses fusiformes subcylindriques ; Pleuros nulles. Epicutis à hyphes à petits diverticules.

Mycena stylobates

Sur débris divers de bois ou plantes herbacées. Ce minuscule mycène de reconnaît à son pied muni d'un disque basal cannelé. Sur les jeunes spécimens on remarque des excroissances en forme de poils (spinules).

Mycena viridimarginata

Sur bois décomposé. Chapeau brun grisâtre à marge verdâtre. L'arête des lames est typiquement gris olivâtre.
arête

Mycena vitilis

Chapeau gris brun, strié à la marge. Lames blanches ascendantes. Odeur inconstante alcaline à raphanoïde. Cheilocystides lisses digitées. Spores 9-11 x 6,5 -8,5 µm. Peut être confondu avec M. filopes mais celui-ci possède une odeur d'iode et des cystides en brosses.

Mycena vitilis

Spécimens avec très long stipe.

Mycena vitrea var.tenella

Les mycènes à chapeau rose sont peu nombreuses et pourtant cette variété semble peu connue dans la littérature.Les cystides sont clavées à verrues denses et courtes. Spores 8-11 x 4,5 -5,5 µm.

Myxomphalia maura

Sur vieillles places à feu. Chapeau brun noir jusqu'à 4 cm, ombiliqué, hygrophane, strié jusqu'au 3/4. Lames blanches,larges et sinuées, se tachant de rouille. Odeur et saveur nulles. Spores lisses amyloïdes 5-7 x 3,8 -4,5 µm.

O
 
Omphalina oniscus

Une omphale caactéristique des tourbiers. Son chapeau lisse et noirâtre la distingue de O. sphagnicola

Omphalina umbratilis

Micro

Omphalina sphagnicola

Le chapeau est typiquement squamuleux.

autre

Omphalotus illudens

Espèce très toxique dont les jeunes exemplaires sont confondus avec la chanterelle !
Vient en touffes à la base de feuillus (souvent chênes). Dans le midi sur oliviers on rencontre O. olearius a teinte plus orangé sombre.

P
 
Panaeolus acuminatus var. rickenii
Dans l'herbe des prairies .Chapeau convexe brun noirâtre à l'état imbu. Lames devannt noires avec l'arête blanche (cheilos). Stipe très long et fin, brun rougeâtre entièrement pruineux. Spores noires lenticulaires 11,5-15 x 7,5-8 x 8,5-11 µm, ± hexagonalse et elliptiques de profil. Cheilocystides lagéniformes.jusqu'à 40 µm de long. La forme type est mamelonnée et plus conique.
Panaeolus cinctulus
Récolte de jeunes spécimens sur bouse de vache. Spores brun rougeâtre, lenticulaires 11-13 x 6-7 x 8-9 µm. Pileipellis nettement hyméniforme. Cystides lagéniformes.
A l'âge adulte le chapeau possède une marge zonée.
Phaeogalera stagnina

Chapeau brun roux à marge voilé de blanc. Long stipe guirlandé avec petit anneau fugace. Grandes spores 13-17 x 8-10,5 µm, lisses à paroi épaisse et un petit pore.

Pholiota pinicola

Lignicole sur pins. Chapeau jusqu'à 10 cm, ocre fauve. Stipe jaune pâle brun, rougeâtre à la base. Saveur douce. Spores 7-10 x 4,5-5,5 µm ellipsoïdes de face et amygdaliformes de profil avec un pore distinct 0,6 µm. Cheilocystides cylindracées à étroitement utriformes. Pleuro- et chrysocystides absentes.

Phyllotopsis nidulans

Récoltée en décembre, cette espèce est plutôt printanière.
Pleurotus dryinus

Pleurotacée (Polyporales), dont le chapeau feutré-squamuleux peut atteindre 20 cm. Parasite souvent les chênes, mais on peut aussi la trouver sur frênes et autres feuillus (rarement sur conifères). Grandes spores cylindracées 12-16 x 4 -5,5 µm
Très proche P. Calyptratus s'en distingue par l'absence de stipe et sa croissance uniquement sur Populus.

Pleurotus pulmonarius

exemplaires jeunes

Pluteus boudieri
(= semibulbosus ss. auct.)

Chapeau blanchâtre, un peu rosé par transparence, stipe à base subulbeuse. Odeur aigre de scléroderme. Sur bois pourri de feuillus.
autre
cheilocystides

Pluteus leoninus
(= Pluteus fayodii)

Chapeau jusqu'à 6 cm, jaune doré, à surface finement veloutée à la loupe (au micro, on voit de grands poils qui donnent cet aspect velouté), il appartient donc aux hispidodermi. En vieillissant il devient jaune bunâtre sale. Marge courtement striée par temps humide. Lames jaune pâle vers l'arête. Stipe blanc à jaunâtre pâle.Sur souches et bois pourris de feuillus.
Attention ce n'est pas le P.leoninus ss. Romagnesi qui est un cellolodermi (cf. P.luteovirens).

Micro

Pluteus murinus

Chapeau jusqu'à 7 cm, de couleur brun gris souris, montrant rapidement des crevasses radiales. Spores subglobuleuses 6,5-8 x 5,5-7µm. Pleurocystides 60-80 x 19-32 µm, nombreuses, en tête de vipère non capitulées. Boucles nulles.
Micro

Pluteus phlebophorus

Chapeau jusqu'à 5 cm, nettement ridé, de couleur brun foncé chaud. Spores subglobuleuses 6,5-8 x 5,5-6,5µm. Cystides clavées à lagéniformes capitulées. Epicutis celluleux. Boucles nulles.
Micro

Psathyrella fusca
Donnée comme venant typiquement sous hêtres, on peut aussi la rencontrer sous d'autres feuillus. Chapeau brun très sombre à l'état humide. Marge voilée à l'état jeune. Spores 7-9 x 4-5 µm avec pore net. Cystides utriformes. Voir bull. SMF t.116 (2000) : p 365.
Psathyrella gracilis
Sur sol argileux humide souvent greffée aux brindilles. Le chapeau devient argile teinté de rose. Lames mûres typiquement à arête soulignée de rouge. Stipe radicant. Spores 12-14 x 6-7 µm avec un large pore. Cheilocystides étroitement fusiformes lagéniformes.
Autre
Psathyrella hirta
Une psathyrelle coprophile facile à reconnaître à l'état jeune avec ses mèches blanches.
Psathyrella microrrhiza

Dans l'herbe. Chapeau jusqu'à 2,5 cm, brun datte à l'état humide et strié, devenant argile ocracé en séchant. Lames brun noirâtre à arête blanche devant rosâtre en veillissant. Stipe voilé par des fibrilles blanches. Spores grandes 11-14(15) x 6- 7,5 avec pore net. Cheilocystides fusiformes. Boucles présentes.

Psathyrella microrrhiza

La même récolte :
aspect humide et déshydraté

Psathyrella multipedata

En touffes très denses. Chapeau jusqu'à 4 cm, ocracé fauvâtre devenant brun avec l'âge, hygrophane, voile fugace. Stipe élancé, blanc, creux et très fragile.Autre
Aspect âgé

Psathyrella murcida

Sous hêtres. Aspect imbu : chapeau brun de datte chaud, strié par transparence. Spores 9,5-11 x5,5-6,5 µm à pore bien net. Cheilo et pleurocystides fusiformes-lagéniformes. Boucles présentes.

Psathyrella pannucioides
Croissance en touffes denses. Chapeau (1 - 3 cm) brun ocracé entièrement voilé de blanc à l'état jeune avec la marge appendiculée. Lames pâles puis noirâtres avec l'arête blanche. Stipe 2- 6 x 0,3-0,5 cm, blanc pelucheux-ondoyant. Spores 8-11 x 5-5,5 µm avec pore large, brun rougeâtre dans l'eau. Cystides utriformes jusqu'à 50 x 16 µm.
Psathyrella prona
f. cana
En troupe dans les prés. Chapeau parabolique, petit 2 cm, lames grises devenant noires à arêtes non surlignées de rouge.
Psathyrella pygmaea

En troupes. Chapeau petit jusqu'à 1,5 cm, gris brunâtre, strié jusqu' au 3/4. Stipe entièrement poudré. Cystides utriformes fortement muriquées (section Spadiceae, comme Ps. variata). Spores petites 6-8 x 3,5-4µm avec pore net.

Psathyrella sphagnicola

Rare Psathyrelle très fragile ne venant que dans les tourbières .
Chapeau brun chaud à marge striée légèrement voilée jeune. Le stipe possède une anneau membraneux vite oblitéré.

Psathyrella tenuicula

Chapeau 4 mm, stipe 10 x 0,8 mm velouté ainsi que le chapeau. Lames espacées beigeasses ponctuées de noir par les spores. Spores petites avec un large pore (6,7) 6,9 -7,3- 7,7 (8,3) x (3,3) 3,4 -3,7- 3,9 (4,0) µm. Q = (1,8) 1,9 -2,0- 2,2 (2,3). Cheilos lagéniformes à fusiformes 14-27 x 7-9 x 2-3 µm, Pleuro un peu plus grandes. Pileo et caulocystides semblables au cheilos. ABSENCE de boucles.
Micro

Psathyrella variata

Une psathyrelle étonnante par sa robustesse (aspect de Lepista nuda ). Une récolte de 8 spécimens le 31 août sous épicéas avec érables sycomores à proximité. Il semble que cela soit seulement la troisième station française. Le chapeau convexe mesure jusqu'à 4 cm . Il est brun rosâtre et typiquement la marge possède un liseré formé de petits poils blancs mesurant jusqu'à 1 mm , qui sont bien visibles sur les jeunes spécimens. Il devient pâle par déshydratation. Les lames sont serrées et adnées, d'abord grisâtre carné pâle puis d'un brunâtre clair. Le stipe blanc est épais jusqu'à 0,8 cm et il est pelucheux, strié. Sporée brun chocolat ( vers Cailleux R25).Les spores sont à parois épaisse et pore nul, jaune pâle sous le microscope, elles mesurent 7-9(9,5) x 4-5(5,5) µm. On rencontre deux type de cystides : les plus nombreuses sont muriquées, à parois épaisses , et d'autres sont des leptocystides à parois minces à extrémité obtuse.

Psilocybe coprophila

Récolté en troupes nombreuses sur crottin de cheval. Il se différencie de P. fimetaria par son chapeau hemisphérique plus petit (0,5 à 1,2 cm). Les spores sont largement ovoïdes et anguleuses et mesurent 12-15 x 8-9,5 µm, à parois épaisse avec un pore large.

Psilocybe coprophila

Une autre récolte sur crottin de cheval.

Psilocybe fimetaria

Psilocybe souvent confondu avec Psilocybe coprophila. Le chapeau visqueux (jusqu'à 2,5 cm), ochracé fauvâtre, possède un petit mamelon subaigu. La marge est ornée de petites mèches blanches fugaces et elle est striée par transparence. Il devient bronze olivâtre avec l'âge. Le stipe ocracé est ferme et présente des fibrilles noirâtres par les spores. La base est colorée de bleu verdâtre.

Psilocybe merdaria

Chapeau visqueux (jusqu'à 4 cm), brun-jaune, hygrophane devenant jaune pâle, marge non striée, appendiculée par un voile blanc à l'état jeune. Lames distantes, adnées, brun-rouge à arête fimbriée blanche. Stipe brun-jaune avec une zone annulaire fibrilleuse. Odeur nulle. Spore 10-12,5 6-8 µm hexagonale de face, avec un large pore. Cheilocystides lagéniformes. Pleurocystides absentes. Caulocystides cylindracées, abondantes.. Gros plan

Psilocybe semilanceata

Chapeau visqueux en "bonnet de lutin" jusqu'à 2 cm),brun verdâtre humide, hygrophane devenant crème ochracé. Lames adnées brun violacé. Stipe élancé jusqu'à 12 cm à base plus ou moins bleuissante. Odeur nulle. Spore 12-15 x 6,5-7,5 µm ellipsoïdes, avec un large pore. Cheilocystides lagéniformes parfois ramifiée. Dans l'herbe des près surtout ent montagne. Interdit à la cueillette et à la vente (hallucinogène)

Psilocybe semilanceata

 

R
 
Resupinatus kavinii

Dans le groupe de R. applicatus il se distingue par son chapeau cupuliforme de petite taille 1-3 mm de couleur noir, ses lames épaisses peu nombreuses et sa croissance en groupe très dense (plusieurs centaines d'exemplaires parfois). R. striatulum est de couleur plus pâle et possède un chapeau strié. R. rhacodium possède un chapeau présentant un tomentum dense. Il semble peu commun.

Rhodocybe cf lignicola
Chapeau 1,5- 2,2 cm, de couleur brunâtre avec le centre plus foncé, palissant en séchant, strié par transparence jusqu'à la moitié. Lames blanchâtres à brun clair, espacées, adnées- uncinées. Stipe brunâtre pâle, poudré en haut, base avec cordons mycéliens blancs. Odeur et saveur de farine rance. Basides tétrasporiques, spores hyalines 6,5-7,5 x 4,2-4,8 µm, anguleuses, non amyloïdes, non dextrinoïdes, cheilocystides nulles, boucles nombreuses.
Rhodocybe mundula
Chapeau jusqu'à 10 cm, de couleur terne mastic, noircissant au froissement, se craquelant. Lames grisâtres peu serrées et peu larges, noircissantes. Odeur farineuse et saveur farineuse devenant très amère. Spores peu anguleuses subsphériques 4-6 x 3,5-4,5 µm. Boucles nulles.
Rickenella mellea

Signalé plutôt en zone alpine. Elle présente une couleur différente de R. fibula (mais attention aux forme pâle ou décolorée) et elle est de plus grande taille.

Rimbachia bryophila
Minuscule espèce sur mousse pleurocarpe. Hyménium avec des veines distinctes. Spores(sub)globuleuse 6-7 x 5-6 µm.
Russula adulterina

Autre

Russula albonigra

Chapeau 5- 10 cm sec et mat, blanchâtre très vite noircissant. Stipe blanc et noircissant au toucher. Chair blanche blanche noircissante sans rougir d'abord. Saveur douce , mentholée. Odeur faible. SFe rougeâtre. Gaïac positif. Sporée Ia. Spores 7-9 x 6-7 µm à très fines verrues ± reliées.

Russula alnetorum

Une Russule classique des aulnaies vertes de la zone alpine. Elle appartient aux Atropurpurinae.

Russula cf. barlae
Récolte sous chênes. Chapeau jusqu'à 8 cm , ruguleux brun verdâtre se décolorant au centre en jaune, vineux au bord, rapidement déprimé, marge un peu cannelée. Lames espacées, de couleur crême. Stipe blanc se tachant de brunâtre. Chair fortement positif au gaïac, SFe verdâtre, odeur de crustacés. Sporée II c(d). Spores 8-11 x 7-8 µm à verrues isolées, obtuses, hauteur 1 µm. Poils banals. Semble proche de R. duportii (cf Reumaux : Russules rares pl p242)
Russula blumii

Sous conifères. Chapeau à centre devenant citrin olivâtre avec la marge typiquement rose vineux. Appartient aux alutaceae (ni pileocystides, ni hyphes incrustées). Lames jaune à effet "integra" Chair blanche citrine sous la cuticule. Gaïac ++. Sporée Jaune IVab, spores 8-10 x 7 -8 µm à crêtes hautes à subréticulées.

Russula elaeodes

Sous conifères. Chapeau olivâtre avec la marge typiquement rose vineux. Appartient aux viridantes donc à odeur de crustacés et SFe= vert++. Sporée ocre. Spores 8-11 x 6,5 -8 à verrues nettes isolées, parfois reliées.Piléipellis avec poils cylidriques obtus peu divisés.Très ressemblante macroscopiquement l''espèce des feuillus à poils effilés semble correspondre à R. claviceps Vel. (cf Reumaux p. 176).

Russula emetica var. pseudolongipes

micro

Russula exalbicans

Russule âcre à sporée ocre IIIa-c, vite décolorée et typique du bouleau.

Russula favrei

Récolte sous épicéas à Plaine-Joux (1300 m). C'est une viridantes. Chapeau brun rougeâtre à vineux. Stipe épais ridulé, blanc lavé de rose. Spores à verrues isolées.

Russula grisescens

Souvent en bordure des tourbières. Une Emitica à stipe fortement grisonnant.

Russula lilacea var. carnicolor

Sous feuillus cette lilacinae surprend par sa couleur carnée vineuse. La cuticule est mate granuleuse, le stipe lavé de rose vers la base. Spores à verrues isolées.

Russula intermedia (lundellii)

Sous bouleaux en terrain non calcaire. Chapeau rouge décolorant jaune orangé. Saveur âcre. Sporée maxi IVd. R. mesospora et R. lundellii sont des synonymes par Sarnari.

Russula luteotacta

Une russule jaunissante très commune mais qui présente différentes formes, en particulier la var. semitalis qui ne jaunit pas !

Russula minutula

 

Russula multicolor

Récolte sous épicéas. Elle appartient aux Chamaeleontinae (saveur douce, hyphes incrustées et sporée jaune orangé vif). Spores grandes 9-11 x 7-8 µm à verrues nettes isolées. Poils capités.

Russula pectinatoides

Chapeau jusqu'à 5 cm, brun pâle, déprimé à marge cannelée. Chair douce. Spores cristulées.

Russula persicina

 

Russula recondita

Récoltée après la pluie, dans un pré moussu au voisinage d’un gros épicéas et feuillus divers. Chapeau visqueux < 6 cm à marge cannelée jusqu’à la moitié, pied sans trace de roussâtre à la base. Sporée IId, chair douce puis amère après 1 min., odeur désagréable (cf poisson). Gaïac +++ stipe et lames, SFe rosâtre. Spores petites 7,6 x 6,1 µm non subréticulées.

Russula rhodopus

Une classique des pessières de montagne.
Autre récolte

Russula rubra var. poliopus

Ressemble à R. lepida. mais à sporée ocre III.
Sous feuillus. Chapeau rouge à marge non cannelée, remarquablement mat et pruineux. Stipe sans trace de rose. Odeur forte de miel. Saveur modérément âcre. Spores 6,5-8 x 5,5-7 µm à verrues fines espacées et subcristulées, plus petites que le type. Piléocystides claviformes et souvent ampulacées.

Russula rubroalba

Sous chênes. Sporée jaune maxi (IVd). Chapeau rouge cuivré avec plages décolorées ivoire, jusqu'à 11 cm à cuticule peu séparable, mate par temps sec. Chair douce et odeur nulle.
spores subglobuleuses 7-8 x 6-7 µm, subréticulées.Poils longs en alènes. Pileocystides rares

S
 
Simocybe centunculus

 

Simocybe rubi

Récolte du 22/8/03 sur branche décortiquée de chêne au Storts (Passy) MEN 3530D. Chapeau feutré pruineux gris olivâtre à ocracé jusqu'à 2,5 cm. Stipe court entièrement pruineux. Spores brunâtres pâles, ovoïdes à parois épaisse 7-8 x 4,5-5,5 µm. Basides bouclées bisporiques. Simocybe haustellaris ne possède pas de stipe et est tétrasporique.

Strobilurus esculentus
Très nombreuses à la fonte des neige au printemps. Vient uniquement sur cônes d'épicéas ± enterrés. Spores 5,5-6,5 x 3-3,5 µm, Cystides fusoïdes à parois épaisses et à sommet obtus avec des cristaux.
Stropharia hornemanii
Rare Strophaire nordique, récoltée dans les monts du Lyonnais (Bois Noirs). Elle s'identifie immédiatement par son chapeau brun violacé à marge appendiculée de blanc. Lames gris violacé. Stipe blanc fortement pelucheux squameux sous l'anneau.
Stropharia inuncta
Chapeau (jusqu'à 6 cm) viqueux, gris violet se décolorant en ocracé, marge appendiculée par le voile blanc. Stipe blanc avec anneau membranaire blanc coloré par la sporée noirâtre. Spores 6,5-8 x 4,5-5 µm. Cheilocystides se terminant souvent en "oreilles de Mickey Mouse".
T
 
Tephrocybe boudieri.

Un Lyophyllum non noircissant à stipe poudré au sommet ,odeur forte de concombre.
Autre

Tricholoma arvernense

Sous conifères et hêtraie sapinière en montagne. Chapeau vert-jaune cuivré, pied blanchâtre souvent épaissi. Odeur farineuse et saveur douce à amarescente. Spores 5-6 x 4-5 µm. Hyphes bouclées.

Autre

Tricholoma aurantium
C'est le plus beau des Tricholomes.
Gros plan
Tricholoma auratum
= Tricholoma arenarium (Lév.) Gill.
C'est le terrible Bidaou des Girondins qui a causé des intoxications mortelles (Rhabdomyolyse aiguë). Je l'ai rencontré dans le midi en terrain sablonneux sous pins maritimes. Il est plus massif que son cousin le Tr. equestre .
Tricholoma bufonium

C'est un Tricholoma sulfureum à chapeau d'une belle couleur pourprée qu'on trouve sous épicéas.

Tricholoma caligatum
Espèce méditerranéenne ou thermophile, sous les pins. Chapeau avec grosses écailles noirâtres et stipe avec une armille concolore se terminant par un anneau ample Odeur forte aromatique de baume du Pérou ou benjoin. Savère amère.
Tricholoma cingulatum
Une belle récolte sous saules. Proche de T. scalpturatum par son odeur de farine et son jaunissemnt tardif, la présence d'un anneau suffit à son identication.
Tricholoma myomyces f. bisporigerum

Chapeau ébouriffé noir à grisâtre palissant , assez petit (4,5 cm). Lames grisâtres peu larges (0,6 cm) et échancrées ( T. gausapatum possède des lames très larges).Le stipe blanc possède des fibrilles noirâtres pouvant former un vague zone annulaire.
Spores ovoïdes (6)7-8,5 x 4,5-5(5,5) µm. Basides majoritairement bisporiques, à longs stérigmates jusqu'à 10 µm (voir micro)

Tricholoma roseoacerbum
Dans les bois mixtes thermophiles. Rare Tricholome à chapeau charnu nuancé de rose. Sa marge enroulée et cannelée le fait ressembler à T. acerbum.
Tricholoma umbonatum
 
Tricholomopsis decora
Sur bois de conifères. Chapeau jaune à fines squamules brunâtres. Lames jaune vif.
Tubaria confragosa
Sur bois pourri. Chapeau jusqu'à 6 cm, hygrophane, brun roussâtre avec des fibrilles ou méchules blanchâtres au début. Stipe avec un anneau blanchâtre.
Spores ellipsoïdes, lisses, fauve ochracé 6-9 x 4- 6 µm. Cheilocystides cylindracées renflées, obtuses à subcapitées 30-70 x 4-8 µm .
Tubaria hiemalis
Chapeau strié jusqu'au 3/4 à l'état humide. On peut le confondre avec T. romagnesiana mais ce dernier a des spores plus petites et les cheilocystides sont moins capitées.
Spores 8-9,5(10) x 5- 6 µm. Cheilocystides capitées , avec capitule jusqu'à 13 µm. Trame de lames à hyphes larges 10-23 µm.
Tubaria romagnesiana
C'est la Tubaria pellucida ss. Romagnesi.
Chapeau d'abord avec voile blanchâtre qui laisse des traces à la marge. Strié par transparence à l'état humide. Spores 6,5-8 x 4,5-5 µm elliptiques. Cheilocystides à extrémité clavée à subcapitée. Trame à hyphes grêles.
Tubaria cistophila

Espèce méridionale, caractéristique des cistes. A terre ou greffée aux feuilles en décomposition. Chapeau inférieur à 1 cm , fauve roussâtre avec la marge parsemée de flocons blancs à l'état jeune (comme Tubaria conspersa ). Lames espacées adnées à décurrentes. Stipe poudré en haut avec des fibrilles blanches plus bas. Spores 7-8 x 5-5,5 µm à contour dorsal très vouté et sommet ogival. Cheilocystides lagéniformes subcapitées et souvent présentant un long col étroit à sommet capité
.Bull. FAMM 1997/2 n°13 p.41-46.

Tubaria dispersa
= T. autochtona (Bk. & Br.) Sacc.
Petit tubaria qu'on rencontre en troupes généralement sous les Crataegus. La récolte représentée a été effectuée sous saules et noisetiers. Les lames jaune pâle sont caractéristiques.
Tubaria et Flammulaster
Comparaison de Flammulaster carpophiloides et Tubaria cistophila qui poussent souvent à proximité. Outre les caractères microscopiques (pileipellis, cystides), macroscopiquement on remarque la différence d'insertion des lames (horizontales à décurrentes pour Tubaria).
V
 
Vovariella surrecta

Typique par sa croissance sur Clitocybe nebularis en décomposition.

Vovariella volvacea

Récolte en plaine nature sur compost. Chapeau sec jusqu'à 6 x 5 cm brun grisâtre devenant vergeté. Stipe blanc atteignant 10 x 1,4 cm avec une volve importante jusqu'à 5x 3 cm grise à deux lobes. Spores ellipsoides 7,5-10 x 5,5-6 µm. Cystides lagéniformes 50-140 x 15-37 µm.
Autre récolte

X
 
Xerocomus cf. bubalinus.

Chapeau 2-6 cm, tomenteux, finement squamuleux et craquelé à l'état sec, brun chamois à reflets rose orangé. Chair blanchâtre à jaunâtre pâle subimmuable. Stipe costulé, pointu à la base. Spores 10-13 x 5-6 µm. La synonymie avec X. communis est posée.
Coupe

Xeromphalina campanella

Vient en touffe sur bois de conifères en montagne surtout au printemps à la fonte des neiges, parfois en été. Chapeau jusqu'à 2,5 cm creusé au centre, strié. Lames très décurrentes jaunâtre orangé. Saveur douce. Spores 6-8 x 3-4 µm, elliptiques, lisse,s amyloïdes.

Xeromphalina cf. caulicinalis

X. caulicinalis ( = X. fuvobubillosa) vient habituellement sous conifères, souvent sous mélèzes. Les récoltes que j'effectue dans le midi sous toujours sous feuillus (des récoltes sous trembles, et des récoltes sous chênes pubescents) et la saveur est douce. Les rhizomorphes sont toujours présents. Les spores mesurent 5,5-8 x 3-4 µm. M. Bon a créé en 1999 (DM 115) une var. fageticola à saveur douce et venant sous hêtres et les récoltes des conifères à saveur amère ont été nommées var. subfellea.